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Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et l’esprit d’enfance spirituelle

Canal Académie diffuse une émission sur le théme sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et l’esprit d’enfance spirituelle. L’émission est disponible à cette adresse: http://www.canalacademie.com/Sainte-Therese-de-l-Enfant-Jesus.html

Le 9 avril 1988, Thérèse de Lisieux (1873-1897) entre à quinze ans au Carmel sous le nom de Thérèse de l’Enfant Jésus. La carmélite, née à Alençon le 2 janvier 1873, est encore une toute jeune fille, à l’enfance marquée par la mort de sa mère et l’entrée de sa sœur Pauline au Carmel de Lisieux. Déjà la petite fille de neuf ans – qui nourrit le désir d’entrer elle aussi au Carmel – s’était interrogée en son cœur sur le nom de religieuse qui serait le sien le matin de sa première visite à Pauline : « Tout à coup, je pensai au Petit Jésus que j’aimais tant et je me dis : Oh ! que je serai heureuse de m’appeler Thérèse de l’Enfant-Jésus ! ».

La neuvième enfant des Martin a été bercée dans le climat de piété de l’imitation au Christ Jésus qui est propre à son temps. Le rigorisme ambiant, teinté d’expiation et de réparation pour les péchés, explique que l’enfant fasse par exemple une neuvaine de sacrifices pour se préparer à la fête de Noël. Comme toutes les petites filles du milieu de la notabilité provinciale, à laquelle elle appartient, Thérèse est aussi une « enfant de Marie ». Elle a sans doute porté la robe blanche à nœud bleu qui fait d’elle une « petite » vierge Marie, semblable à celle des apparitions de Lourdes de 1858.

L’éducation religieuse qu’elle reçoit imprime ainsi sa marque sur la spiritualité d’enfant qui est la sienne. Thérèse confiera plus tard qu’elle fit également très tôt, dans l’enfance, l’expérience de la rencontre personnelle avec le Dieu fait homme du christianisme, le Dieu de la Nativité : « La nuit de Noël 1886 fut, il est vrai, décisive pour ma vocation, mais pour la nommer plus clairement je dois l’appeler : la nuit de ma conversion. En cette nuit bénie, dont il est écrit qu’elle éclaire les délices de Dieu même, Jésus, qui se faisait enfant par amour pour moi, daigna me faire sortir des langes et des imperfections de l’enfance. Il me transforma de telle sorte que je ne me reconnaissais plus moi-même ».

Au fil de ses cahiers autobiographiques mis par écrit en décembre 1894 sur ordre de mère Agnès de Jésus, alors prieure (Pauline), la carmélite témoigne de l’expérience d’enfance vécue en Dieu qui fut la sienne. Thérèse de l’Enfant Jésus dit et décrit, en effet, le mouvement de l’âme qui fait l’expérience de l’enfance de Dieu, afin de l’imiter et de grandir ensuite dans la vie spirituelle. À cette fin, elle choisit aussi de chorégraphier ce mouvement d’imitation au Christ dans une forme d’écriture singulière : le théâtre. C’est dans ce but qu’elle écrit en 1895 la pièce de théâtre, intitulée le Divin Petit Mendiant de Noël demandant l’aumône aux carmélites. Elle met ainsi en scène l’enfance spirituelle vécue au Carmel à la fin du XIXe siècle, consistant à entrer dans le mystère de la ressemblance avec l’Enfant Jésus.

Passion de NSJC

Interview de Mgr Fellay à la chaîne de télévision canadienne Sel † Lumière

Mgr lefebvre: Messe à Rome

Déclaration du R.P. Calmel, O.P

Je m’en tiens à la Messe traditionnelle, celle qui fut codifiée, mais non fabriquée, par saint Pie V, au XVIe siècle, conformément à une coutume plusieurs fois séculaire. Je refuse donc l’Ordo Missæ de Paul VI.

Pourquoi ? Parce que, en réalité, cet Ordo Missæ n’existe pas. Ce qui existe c’est une Révolution liturgique universelle et permanente, prise à son compte ou voulue par le Pape actuel, et qui revêt, pour le quart d’heure, le masque de l’Ordo Missae du 3 avril 1969. C’est le droit de tout prêtre de refuser de porter le masque de cette Révolution liturgique. Et j’estime de mon devoir de prêtre de refuser de célébrer la Messe dans un rite équivoque.

Si nous acceptons ce rite nouveau, qui favorise la confusion entre la Messe catholique et la Cène protestante – comme le disent équivalement deux Cardinaux et comme le démontrent de solides analyses théologiques – alors nous tomberons sans tarder d’une Messe interchangeable (comme le reconnaît du reste un pasteur protestant) dans une Messe carrément hérétique et donc nulle. Commencée par le Pape, puis abandonnée par lui aux églises nationales, la réforme révolutionnaire de la messe ira son train d’Enfer. Comment accepter de nous rendre complices ?

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Pourquoi nous sommes-nous convertis ?

” Un jour que j’étais à la campagne avec ma soeur Anne, nous assistâmes à une messe télévisée, le curé du village était absent ce dimanche-là. Je me souviens que tournant les pages de mon missel français, j’essayais de reconnaître sur l’écran quelque chose qui ressemblât à une messe. En vain. Ce que je reconnus, comme Anne de son côté, était une imitation assez grossière du service anglican qui nous était familier dans notre enfance. Le vieux protestant qui sommeille en moi dans sa foi catholique se réveilla tout à coup devant l’évidente et absurde imposture que nous offrait l’écran, et cette étrange cérémonie ayant pris fin, je demandai simplement à ma soeur : « Pourquoi nous sommes-nous convertis ? » “

Julien Green, à propos du NOM (rit Paul VI).

Via LeForumCatholique

Séminariste à Rome

Conférence de l’abbé Cottard:

Conférence donnée dans le cadre du centenaire de Mgr Lefebvre à Marseille.

Durée 40,05 minutes

[audio:http://adaltaredei.free.fr/wp-content/audio/cottard2001126.mp3]

Extrait: Le Chardonnet, novembre 2008, n°242

La visite du pape, entre

Iumières et feux d’artifice

Abbe François-Marie Chautard

Les appareils photographiques étant rangés dans leurs étuis, la multitude de petits drapeaux s’étant envolés au fond des greniers et l’enthousiasme fébrile des foules s’étant refroidi au contact du krach boursier, on peut maintenant revenir sereinement sur la visite du pape en France. Beaucoup de catholiques ont été heureux, fiers même, de voir cette blanche silhouette occuper le premier plan de la scène française, et visiter la fille ainée de l’Église. D’aucuns ont vibré devant l’appel du pontife à fuir les idoles du monde moderne, d’autres se sont émerveillés de l’hommage rendu à la Vierge de la grotte, d’autres enfin se sont félicités de lire ces reproches à peine voilés que le Pasteur fit aux évêques de France. Enfin, cesderniers étaient obligeamment mais hardiment semoncés ! Lire la suite →

La catéchèse Catholique du mariage du père Noël Barbara

Il existe une grande quantité de livres catholiques (dont certains ne le sont que de nom) sur le mariage. Plus ou moins complets, plus ou moins exactes pour certains, relayant plus ou moins bien le message de l’Église Catholique au sujet du mariage. La Catéchèse catholique du Mariage, c’est le livre que tout couple devrait avoir dans sa bibliothèque, LE livre qui traite de toutes les questions du mariage, toutes, sans exception. des fiançailles à l’éducation des enfants, en passant par les buts du mariage, les cas de nullité…

L’ouvrage se présente en deux grandes parties:

La première, est divisée en plusieurs chapitres (le contrat, le contrat des chrétiens ou sacrement de mariage, les empêchements du mariage, les préparatifs du mariage et sa célébration, les empêchements du mariage, usage du mariage…) eux même divisés en multiples questions, ces questions que tout le monde peut se poser, que beaucoup de gens se posent en tout, 324 questions, numérotées et mises en gras, et suivies d’une réponse claire, simple, compréhensible par tous.

La deuxième contient toutes sortes de texte en rapport avec le sujet: textes de l’ancien testament et du nouveau testament, enseignements pontificaux, enseignements épiscopaux, médecins, philosophes, ecclésiastiques.

A lire, relire, et offrir aux fiancés, naturellement après s’être assuré qu’ils ne la possède pas déjà! En vente à saint Nicolas du Chardonnet et à la librairie du petit pont.

L'imitation de Jésus-Christ

Un livre qui a traversé les siècles, qui a nourri la Foi de nombreux saints, qui est “le plus beau qui soit parti de la main d’un homme, puisque l’Évangile n’en vient pas” (Fontenelle) devrait être connu de tous, en tous cas de tous les catholiques. Pourtant, j’ai l’impression de le faire découvrir à mes interlocuteurs à chaque fois que je le mentionne. Ce n’est pas un traité de théologie ni un petit catéchisme pour enfant, mais un parfait guide spirituel.

Il est composée de 4 parties:

  1. Conseils pour la vie spirituelle
  2. Exhortation à la vie intérieure
  3. Le réconfort intérieur
  4. Le sacrement de l’Eucharistie

Chacune de ces parties est divisée en plusieurs thèmes, médités en plusieurs points. La lecture est facile et très agréable.

Il est disponible en lecture à cette adresse: http://books.google.fr/books?id=806wRlVxHuMC&printsec=toc&client=firefox-a&source=gbs_summary_r&cad=0#PPP13,M1